Ok. Ist die "Interessengemeinschaft Blau-Weiss" also doch etwas grösser...IronHammer hat geschrieben:war nur der Bilder-Thread...
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- Do 05 Okt 2006, 16:14
- Forum: Diskussionsforum
- Thema: Mi, 4. Oktober 2006, 19:45 Uhr, FC Sion - GCZ
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- Do 05 Okt 2006, 15:45
- Forum: Diskussionsforum
- Thema: Mi, 4. Oktober 2006, 19:45 Uhr, FC Sion - GCZ
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- Mi 04 Okt 2006, 23:10
- Forum: Diskussionsforum
- Thema: Mi, 4. Oktober 2006, 19:45 Uhr, FC Sion - GCZ
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- Di 03 Okt 2006, 18:51
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- Thema: >>>FRAGE DES TAGES: Wer wird nachfolger con Clausen
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- Mo 02 Okt 2006, 21:11
- Forum: Diskussionsforum
- Thema: Clausen geht
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Reaktionen der Spieler...
Joueurs surpris
http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSe ... id=7123020
Un commentaire à chaud concernant le départ précipité de Nestor Clausen?
ALAIN GASPOZ: Je ne sais pas si cette démission est précipitée mais en tout cas elle est des plus inattendues. J'ai appris la nouvelle par l'intermédiaire des joueurs présents dans le vestiaire car j'ai été remplacé à la 30e et je me douchais au moment de l'annonce. On ne s'y attendait vraiment pas.
A-t-il motivé cette décision?
ALAIN GASPOZ: Non. S'il a décidé de partir, c'est qu'il devait avoir de bonnes raisons que lui seul connaît. On n'en sait pas plus.
L'élimination contre le Bayer Leverkusen jeudi dernier en Coupe UEFA peut-elle expliquer cette démission?
ALAIN GASPOZ: Je ne crois pas en cette supposition. Tout se passait bien avec l'équipe. Quoi qu'il en soit, les joueurs qui n'ont pas ou peu joué à La Chaux-de-Fonds se sont entraînés lundi matin sous la férule de Frédéric Chassot et du préparateur physique.
Christian Constantin a-t-il commenté ce départ après la rencontre? ALAIN GASPOZ: Non. Comme Nestor Clausen, le président n'est pas rentré avec nous.
Que s'est-il passé dans les vestiaires à la mi-temps?
SANEL KULJIC: Etant donné que je devais m'échauffer, je ne suis resté que brièvement dans la cabine. J'ai appris qu'il avait annoncé sa démission. Nous n'en avons pas parlé car nous étions menés 1-0 par La Chaux-de-Fonds et que nous avions une rencontre à gagner.
Qui dirigeait alors l'équipe en 2e mi-temps?
SANEL KULJIC: C'est Nestor Clausen. C'est lui qui était en poste, sur le banc, même s'il ne pouvait plus réellement influer sur le déroulement de la rencontre car il avait déjà procédé aux trois changements.
Paradoxalement, Nestor Clausen quitte l'équipe alors qu'elle partage la tête du classement d'Axpo Super League avec GC et qu'elle reste en lice en Coupe de Suisse...
SANEL KULJIC: Nous ignorons les raisons de son départ. Personnellement, je n'ai jamais eu de conflit avec lui. C'est un super type. Il avait de bons rapports avec toute l'équipe. Les joueurs qui ne jouaient pas ou peu n'étaient pas très satisfaits ou pas toujours motivés à l'entraînement. Mais c'est normal. C'est ainsi dans tous les clubs de football.
Quelle était la réaction du groupe au moment de l'annonce de Clausen?
GERMANO VAILATI: La nouvelle a fait l'effet d'un tremblement de terre mais nous sommes malgré tout restés détachés. Nous pensions que l'entraîneur avait pris une décision à chaud car nous étions menés 1-0 à la mi-temps et qu'il changerait peut-être d'avis après. Nous avons appris aujourd'hui que sa décision était définitive.
En avez-vous parlé après la victoire, sur le chemin du retour?
GERMANO VAILATI: Pas beaucoup en fait parce que nous avons un match très important mercredi contre GC. On essaie de ne pas être trop déstabilisés.
Un mot sur Nestor Clausen?
GERMANO VAILATI:C'est dommage qu'il soit parti parce que c'est un très bon entraîneur mais surtout un vrai homme. Il ne masquait pas les choses. Il parlait franchement à tous les joueurs. Il disait ce qu'il avait à dire, sans fioriture. Il l'a encore démontré dimanche en allant jusqu'au bout de sa pensée.
Ce départ tombe mal avant la venue du leader GC, mercredi à 19h45...
GERMANO VAILATI:: C'est évident. Le successeur de Clausen (ndlr: pas encore connu. Frédéric Chassot assure l'interim) amènera en principe des ajustements. D'où un certain temps d'adaptation à prévoir de notre part.
Paradoxalement, l'entraîneur s'en va alors que les résultats suivent...
GERMANO VAILATI: Avec Clausen, nous avons disputé 22 rencontres avec un bilan de 14 victoires, 6 matches nuls et 2 défaites. Deux revers à l'extérieur contre Young Boys et Bayer Leverkusen. Je ne pense pas que ce soit le totomat qui ait poussé l'entraîneur à partir. Il faut respecter sa décision. Il a beaucoup amené au club
Donc, Nestor Clausen n'est pas parti à cause de l'équipe...
GERMANO VAILATI: Non, il y avait un bon feeling entre lui et l'équipe. Nous discutions et essayions de trouver des solutions aux problèmes posés.
Des bruits font état de son départ car il n'avait pas son mot à dire sur l'équipe à aligner sur le terrain...
GERMANO VAILATI:: J'ai aussi entendu ce genre de rumeurs. Mais l'équipe s'en détache complètement. Notre rôle se limite à jouer et c'est tout. Tout ce que je peux affirmer est que tant la théorie que la composition de l'équipe avant les matches ont toujours été communiquées par l'entraîneur et jamais par le président. Pour le reste, nous ne savons pas ce qui se passe dans le bureau de l'entraîneur ou du président.
http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSe ... id=7123020
Un commentaire à chaud concernant le départ précipité de Nestor Clausen?
ALAIN GASPOZ: Je ne sais pas si cette démission est précipitée mais en tout cas elle est des plus inattendues. J'ai appris la nouvelle par l'intermédiaire des joueurs présents dans le vestiaire car j'ai été remplacé à la 30e et je me douchais au moment de l'annonce. On ne s'y attendait vraiment pas.
A-t-il motivé cette décision?
ALAIN GASPOZ: Non. S'il a décidé de partir, c'est qu'il devait avoir de bonnes raisons que lui seul connaît. On n'en sait pas plus.
L'élimination contre le Bayer Leverkusen jeudi dernier en Coupe UEFA peut-elle expliquer cette démission?
ALAIN GASPOZ: Je ne crois pas en cette supposition. Tout se passait bien avec l'équipe. Quoi qu'il en soit, les joueurs qui n'ont pas ou peu joué à La Chaux-de-Fonds se sont entraînés lundi matin sous la férule de Frédéric Chassot et du préparateur physique.
Christian Constantin a-t-il commenté ce départ après la rencontre? ALAIN GASPOZ: Non. Comme Nestor Clausen, le président n'est pas rentré avec nous.
Que s'est-il passé dans les vestiaires à la mi-temps?
SANEL KULJIC: Etant donné que je devais m'échauffer, je ne suis resté que brièvement dans la cabine. J'ai appris qu'il avait annoncé sa démission. Nous n'en avons pas parlé car nous étions menés 1-0 par La Chaux-de-Fonds et que nous avions une rencontre à gagner.
Qui dirigeait alors l'équipe en 2e mi-temps?
SANEL KULJIC: C'est Nestor Clausen. C'est lui qui était en poste, sur le banc, même s'il ne pouvait plus réellement influer sur le déroulement de la rencontre car il avait déjà procédé aux trois changements.
Paradoxalement, Nestor Clausen quitte l'équipe alors qu'elle partage la tête du classement d'Axpo Super League avec GC et qu'elle reste en lice en Coupe de Suisse...
SANEL KULJIC: Nous ignorons les raisons de son départ. Personnellement, je n'ai jamais eu de conflit avec lui. C'est un super type. Il avait de bons rapports avec toute l'équipe. Les joueurs qui ne jouaient pas ou peu n'étaient pas très satisfaits ou pas toujours motivés à l'entraînement. Mais c'est normal. C'est ainsi dans tous les clubs de football.
Quelle était la réaction du groupe au moment de l'annonce de Clausen?
GERMANO VAILATI: La nouvelle a fait l'effet d'un tremblement de terre mais nous sommes malgré tout restés détachés. Nous pensions que l'entraîneur avait pris une décision à chaud car nous étions menés 1-0 à la mi-temps et qu'il changerait peut-être d'avis après. Nous avons appris aujourd'hui que sa décision était définitive.
En avez-vous parlé après la victoire, sur le chemin du retour?
GERMANO VAILATI: Pas beaucoup en fait parce que nous avons un match très important mercredi contre GC. On essaie de ne pas être trop déstabilisés.
Un mot sur Nestor Clausen?
GERMANO VAILATI:C'est dommage qu'il soit parti parce que c'est un très bon entraîneur mais surtout un vrai homme. Il ne masquait pas les choses. Il parlait franchement à tous les joueurs. Il disait ce qu'il avait à dire, sans fioriture. Il l'a encore démontré dimanche en allant jusqu'au bout de sa pensée.
Ce départ tombe mal avant la venue du leader GC, mercredi à 19h45...
GERMANO VAILATI:: C'est évident. Le successeur de Clausen (ndlr: pas encore connu. Frédéric Chassot assure l'interim) amènera en principe des ajustements. D'où un certain temps d'adaptation à prévoir de notre part.
Paradoxalement, l'entraîneur s'en va alors que les résultats suivent...
GERMANO VAILATI: Avec Clausen, nous avons disputé 22 rencontres avec un bilan de 14 victoires, 6 matches nuls et 2 défaites. Deux revers à l'extérieur contre Young Boys et Bayer Leverkusen. Je ne pense pas que ce soit le totomat qui ait poussé l'entraîneur à partir. Il faut respecter sa décision. Il a beaucoup amené au club
Donc, Nestor Clausen n'est pas parti à cause de l'équipe...
GERMANO VAILATI: Non, il y avait un bon feeling entre lui et l'équipe. Nous discutions et essayions de trouver des solutions aux problèmes posés.
Des bruits font état de son départ car il n'avait pas son mot à dire sur l'équipe à aligner sur le terrain...
GERMANO VAILATI:: J'ai aussi entendu ce genre de rumeurs. Mais l'équipe s'en détache complètement. Notre rôle se limite à jouer et c'est tout. Tout ce que je peux affirmer est que tant la théorie que la composition de l'équipe avant les matches ont toujours été communiquées par l'entraîneur et jamais par le président. Pour le reste, nous ne savons pas ce qui se passe dans le bureau de l'entraîneur ou du président.
- Fr 29 Sep 2006, 08:22
- Forum: Diskussionsforum
- Thema: Do, 28. 09. 2006, 20:30 Uhr, Bayer Leverkusen - FC Sion
- Antworten: 87
- Zugriffe: 20087
sabac hat geschrieben: vailati war mit abstand der beste mann auf dem platz..
Habe die Partie via ZDF verfolgt. Trotzdem habe ich mir in der Pause und nach dem Spiel die "Anti-Sion Tortur Jogi Stiel" auf SF2 zugemutet. In einem Punkt gebe ich ihm aber Recht. Zitat Stiel: "Vailati ist ein klarer Anwärter auf den Nationalmannschaftsposten"...
- Fr 29 Sep 2006, 06:59
- Forum: Diskussionsforum
- Thema: Do, 28. 09. 2006, 20:30 Uhr, Bayer Leverkusen - FC Sion
- Antworten: 87
- Zugriffe: 20087
http://www.blick.ch/sport/fussball/artikel46005
VON ALAIN KUNZ AUS DEUTSCHLAND
29.09.2006 | 01:15:27
LEVERKUSEN – Zumindest die europäische Milchstrasse können die Himmelsstürmer aus dem Wallis nicht erobern: Bundesligist Leverkusen setzte sich 3:1 gegen Sion durch. Und trotzdem liegt beim Pillenklub Zoff in der Luft – wegen dem Schweizer Nationalspieler Tranquillo Barnetta!
Die Sensation wäre möglich gewesen. Wenn da nicht die vermaledeiten 10 Sekunden gewesen wären. Sion – bis zu diesem Zeitpunkt nur einmal wirklich gefährlich vor Butt aufgetaucht, als Saborio eine Regazzoni-Flanke nicht verwerten konnte –glich in der 75. Minute zum 1:1 aus. Aus dem Nichts.
Rega flankte, Obradovic und Gelson Fernandes standen völlig frei. Der U21-Internationale machte das Tor – Sion wäre weiter gewesen. Überschwänglicher Jubel bei den 400 mitgereisten Fans. Die dürfen das auch. Nicht aber die Mannschaft. Denn die verlor die Konzentration völlig.
Der Leverkusen-Angriff nach Wiederanpfiff. Bühler köpfelt den Ball irgendwohin. Vailati rettet wohl gegen Schneider mirakulös, zum x-ten Mal, doch die Abwehr penne in globo. Ramelow, der niemals an den Ball hätte kommen dürfen, chippt ein. 10 Sekunden nach Wiederanpfiff! Man spürte es: Das war die Entscheidung.
Zumal Reset kurz darauf Gelb-Rot sah für ein dummes Revanchefoul an Castro. Da half es auch nicht, dass Ref Eriksson zuvor ein Foul an ihm hätte ahnden müssen.
Und dann konnte Kali gegen den durchgebrochenen Woronin nur noch die Notbremse ziehen. Rot – und Penalty. 3:1.
Tragischer Held indes war gestern Goalie Vailati. Nicht weniger als sechs Todsichere des Pillenklubs machte er zunichte. Bei Woronins 1:0 aber schlief er – es war ein harmloses Schüsschen. Vailatis Fazit: «Uns fehlt halt die internationale Erfahrung.»
Das grosse Rätsel gestern war aber ein anderes: Was ist mit Tranquillo Barnetta los? Der Internationale sass auf der Tribüne. In zivil. «Ich habe mir am Donnerstag das rechte Knie verdreht. Am Matchtag habe ich es probiert, aber es ging nicht», sagte Barnetta. Dies die offizielle Lesart.
Die inoffizielle: Barnetta moserte darüber, dass er bloss Ersatz sein würde und sprach lange mit Co-Trainer Peter Hermann darüber. Und im gestrigen Aufwärmtraining geriet er an Leverkusens Leithammel Bernd Schneider. Da liegt Zoff in der verrussten Bayer-Luft.
VON ALAIN KUNZ AUS DEUTSCHLAND
29.09.2006 | 01:15:27
LEVERKUSEN – Zumindest die europäische Milchstrasse können die Himmelsstürmer aus dem Wallis nicht erobern: Bundesligist Leverkusen setzte sich 3:1 gegen Sion durch. Und trotzdem liegt beim Pillenklub Zoff in der Luft – wegen dem Schweizer Nationalspieler Tranquillo Barnetta!
Die Sensation wäre möglich gewesen. Wenn da nicht die vermaledeiten 10 Sekunden gewesen wären. Sion – bis zu diesem Zeitpunkt nur einmal wirklich gefährlich vor Butt aufgetaucht, als Saborio eine Regazzoni-Flanke nicht verwerten konnte –glich in der 75. Minute zum 1:1 aus. Aus dem Nichts.
Rega flankte, Obradovic und Gelson Fernandes standen völlig frei. Der U21-Internationale machte das Tor – Sion wäre weiter gewesen. Überschwänglicher Jubel bei den 400 mitgereisten Fans. Die dürfen das auch. Nicht aber die Mannschaft. Denn die verlor die Konzentration völlig.
Der Leverkusen-Angriff nach Wiederanpfiff. Bühler köpfelt den Ball irgendwohin. Vailati rettet wohl gegen Schneider mirakulös, zum x-ten Mal, doch die Abwehr penne in globo. Ramelow, der niemals an den Ball hätte kommen dürfen, chippt ein. 10 Sekunden nach Wiederanpfiff! Man spürte es: Das war die Entscheidung.
Zumal Reset kurz darauf Gelb-Rot sah für ein dummes Revanchefoul an Castro. Da half es auch nicht, dass Ref Eriksson zuvor ein Foul an ihm hätte ahnden müssen.
Und dann konnte Kali gegen den durchgebrochenen Woronin nur noch die Notbremse ziehen. Rot – und Penalty. 3:1.
Tragischer Held indes war gestern Goalie Vailati. Nicht weniger als sechs Todsichere des Pillenklubs machte er zunichte. Bei Woronins 1:0 aber schlief er – es war ein harmloses Schüsschen. Vailatis Fazit: «Uns fehlt halt die internationale Erfahrung.»
Das grosse Rätsel gestern war aber ein anderes: Was ist mit Tranquillo Barnetta los? Der Internationale sass auf der Tribüne. In zivil. «Ich habe mir am Donnerstag das rechte Knie verdreht. Am Matchtag habe ich es probiert, aber es ging nicht», sagte Barnetta. Dies die offizielle Lesart.
Die inoffizielle: Barnetta moserte darüber, dass er bloss Ersatz sein würde und sprach lange mit Co-Trainer Peter Hermann darüber. Und im gestrigen Aufwärmtraining geriet er an Leverkusens Leithammel Bernd Schneider. Da liegt Zoff in der verrussten Bayer-Luft.
- Mi 27 Sep 2006, 23:02
- Forum: Diskussionsforum
- Thema: Do, 28. 09. 2006, 20:30 Uhr, Bayer Leverkusen - FC Sion
- Antworten: 87
- Zugriffe: 20087
Christian Constantin versprach im Fall des Einzugs in die Gruppenphase jedem Spieler eine Prämie von 20'000 Franken.
http://www.nzz.ch/2006/09/27/sp/newzzESM1LIKK-12.html
«Wir reden gar nicht vom Ausscheiden. Aber die Mannschaft muss begreifen, dass sie nicht beim Skispringen ist. Es gilt auch die Weite, nicht nur die Haltungsnote», sagte der Bayer-Fußballchef in der Hoffnung auf einen Befreiungsschlag. Die Elf spiele phasenweise «wunderschön, setzt aber ihre Überlegenheit nicht um».
http://www.ftd.de/sport/fussball/uefacu ... ?zid=45025
Obradovic: "Le Bayer, ce n'est pas le Real Madrid!"
http://www.lematin.ch/nwmatinhome/nwmat ... n_est.html
http://www.nzz.ch/2006/09/27/sp/newzzESM1LIKK-12.html
«Wir reden gar nicht vom Ausscheiden. Aber die Mannschaft muss begreifen, dass sie nicht beim Skispringen ist. Es gilt auch die Weite, nicht nur die Haltungsnote», sagte der Bayer-Fußballchef in der Hoffnung auf einen Befreiungsschlag. Die Elf spiele phasenweise «wunderschön, setzt aber ihre Überlegenheit nicht um».
http://www.ftd.de/sport/fussball/uefacu ... ?zid=45025
Obradovic: "Le Bayer, ce n'est pas le Real Madrid!"
http://www.lematin.ch/nwmatinhome/nwmat ... n_est.html
- So 24 Sep 2006, 09:17
- Forum: Diskussionsforum
- Thema: Sa, 23. September 2006, 17:45 Uhr, FC Sion - FC Zürich
- Antworten: 136
- Zugriffe: 31858
23. September 2006, 23:27, NZZ Online
http://www.nzz.ch/2006/09/23/sp/newzzESGEW0NV-12.html
Das Feuer entzündet
Der Aufsteiger Sitten spielt gegen den Meister Zürich 2:2 unentschieden
Der FC Sion zieht das Wallis wieder in seinen Bann. Der Klub muss für vieles im Kanton herhalten. Ein Ausgleichstor wie das 2:2 gegen den FC Zürich nährt den Mythos.
fcl. Was ist Sage, was Realität? Der Traumverkäufer Christian Constantin, Präsident des FC Sion, spinnt mit viel Geld die Illusionen vom Grossklub und erzählt von Europa. Aber die Grundmauern des Erfolgs stehen im Wallis. Hier haben sie eine eigene Hymne, die durch das Fussballstadion schmettert, hier lebt der Mythos, hier soll sich der Walliser Zusammenhalt verfestigen, vereint gegenüber der Ausserschweiz. Und die Legendenbildung nahm auch am Samstag ihre Fortsetzung - mit diesem Tor in der 93. Minute. Alvaro Saborio, der eingewechselte Costa-Ricaner, erzielte gegen den FCZ das 2:2-Remis. Es war das unerwartete Ende einer hochgeschaukelten Partie, die die Zuschauer anfangs nur ungenügend unterhalten hatte.
Nach dem Remis ist klar: Das Stade de Tourbillon erstarkt wieder zur Festung; noch nie hat Sitten in dieser Saison hier verloren, auch gegen den Meister aus Zürich nicht. «Allumer le feu», das Feuer entzünden, hallte es unaufhörlich von den Tribünen. «Wunderbar, wunderbar», sagte der Directeur général des FC Sion, Angelo Massimo, «jetzt müssen wir einfach so weitermachen, immer weiter.» Nur der Sitten-Trainer, der Argentinier Nestor Clausen, benutzte Worte, die die Walliser Fussballhitze etwas abkühlen: «Der FC Zürich hätte die Gelegenheit gehabt, hier auf einfache Weise zu gewinnen. Wäre ich FCZ-Trainer, hätte ich die Spieler an den Ohren genommen.»
Der Angesprochene, der Zürcher Kollege Lucien Favre, nickte. Seine Mannschaft habe es verpasst, nach der Führung, auch noch das dritte Tor zu erzielen, räumte er ein. Im Überschwang sprach Favre von «zwei Lattentreffern», die der FCZ zu beklagen gehabt habe. In Wahrheit streifte nur ein Kopfball von Alphonse die Querstange. Inhaltlich aber behielt der Coach recht: Der Meister hatte nach einer schwachen ersten Halbzeit einige Möglichkeiten, in seiner dreissigminütigen Drangperiode das Spiel zu entscheiden. «In dieser Phase hat der FCZ bewiesen, dass er besser ist als wir», sagte Clausen. Raffael traf kurz nach der Pause zum 1:1, Margairaz gelang in der 63. Minute die verdiente Führung.
Der FC Sion ist zwar nicht mehr Leader, aber immer noch punktgleich mit dem neuen Primus GC. Und was zählte, war das Spektakel, waren die Emotionen, die am Ende wieder durch das Stadion mit den über 12'000 Zuschauern schwappten. Nie in dieser Saison sank die Zuschauerzahl im Tourbillon unter die 10'000er Grenze; selbst in den letzten zwei Saisons in der Anonymität der zweithöchsten Klasse kamen mehr Besucher ins Sittner Stadion, als die grosse Mehrheit der Super-League-Klubs registrieren durfte. Jetzt ist es wieder so weit. Die Erinnerung wird totgeschwiegen; sie soll nicht mehr erwähnt werden. 2003 hatte der FC Sion noch 129 Saisonabonnements verkauft. Heute sind es wieder 5200 - gibt das Sekretariat zur Auskunft. 6300 sind es, wenn Freddy Chassot, Marketingverantwortlicher und Assistenztrainer, gefragt wird. «Es werden immer mehr», erklären aber beide übereinstimmend.
Der FC Sion soll «das Zement des Wallis» sein, wie der Staatsrat Thomas Burgener im Matchprogramm schreibt. Der Verein schafft Identifikation. Der Sittener Stadtpräsident François Mudry hatte vor dem Cup-Final im Frühling gesagt, seine Stadt werde «bei jeder Gelegenheit übersehen und klein gemacht». In Bern im Endspiel gegen YB übersah den FC Sion niemand mehr. Seit er wieder erfolgreich in der Super League spielt, blickt die Schweiz vermehrt nach Sitten. Der Klub muss für vieles herhalten. Als Klammer für das Ober- und Unterwallis zum Beispiel. Doch bei Sitten spielt kein Oberwalliser. In Nachwuchs stammen 15 Prozent der Spieler aus dem deutschsprachigen Teil des Kantons.
Der FC Sion schreitet wieder rasch vorwärts. Präsident Constantin scheint die Gunst der Stunde nutzen zu wollen. Einige Schwergewichte in der Super League wie YB oder der FC Basel befinden sich im Umbruch. Das erscheint als Chance der Sittener. Auch der FCZ wusste am Samstagabend die rasante Fahrt des Aufsteigers nicht ganz aufzuhalten. Die Sittener waren eine Halbzeit lang das bessere Team. Selbst gegen den Meister, in dieser Meisterschaft «l'équipe à battre», wie der Sittener Trainer Clausen sagt, zeigten sie die bekannten Qualitäten: das schnelle Konterspiel mit den starken Individualisten Regazzoni oder Obradovic. «Was kann man im 1:1 gegen die beiden ausrichten», fragte Favre, «ein Gewehr auf sie richten»? Er lachte über seinen Scherz.
Nach dem 1:0 (36.) und einem fragwürdigen Freistoss (Favre: «es ging kein Foul voraus») des Serben Obradovic mitten durch die hochspringende FCZ-Mauer, war Favre der Humor allerdings vergangen. Sein Team verfing sich wie so oft im «Klein-klein-Spiel» und lud den Gegner zu Gegenstössen ein. Nach der Pause erhöhte der FCZ dreissig Minuten lang die Effizienz. «Doch in den letzten zehn Minuten wollte Zürich nicht mehr spielen und verteidigte nur», sagte Clausen, «und wir haben uns alles mit dem Willen erarbeitet». Das Wallis und Willensstärke?
http://www.nzz.ch/2006/09/23/sp/newzzESGEW0NV-12.html
Das Feuer entzündet
Der Aufsteiger Sitten spielt gegen den Meister Zürich 2:2 unentschieden
Der FC Sion zieht das Wallis wieder in seinen Bann. Der Klub muss für vieles im Kanton herhalten. Ein Ausgleichstor wie das 2:2 gegen den FC Zürich nährt den Mythos.
fcl. Was ist Sage, was Realität? Der Traumverkäufer Christian Constantin, Präsident des FC Sion, spinnt mit viel Geld die Illusionen vom Grossklub und erzählt von Europa. Aber die Grundmauern des Erfolgs stehen im Wallis. Hier haben sie eine eigene Hymne, die durch das Fussballstadion schmettert, hier lebt der Mythos, hier soll sich der Walliser Zusammenhalt verfestigen, vereint gegenüber der Ausserschweiz. Und die Legendenbildung nahm auch am Samstag ihre Fortsetzung - mit diesem Tor in der 93. Minute. Alvaro Saborio, der eingewechselte Costa-Ricaner, erzielte gegen den FCZ das 2:2-Remis. Es war das unerwartete Ende einer hochgeschaukelten Partie, die die Zuschauer anfangs nur ungenügend unterhalten hatte.
Nach dem Remis ist klar: Das Stade de Tourbillon erstarkt wieder zur Festung; noch nie hat Sitten in dieser Saison hier verloren, auch gegen den Meister aus Zürich nicht. «Allumer le feu», das Feuer entzünden, hallte es unaufhörlich von den Tribünen. «Wunderbar, wunderbar», sagte der Directeur général des FC Sion, Angelo Massimo, «jetzt müssen wir einfach so weitermachen, immer weiter.» Nur der Sitten-Trainer, der Argentinier Nestor Clausen, benutzte Worte, die die Walliser Fussballhitze etwas abkühlen: «Der FC Zürich hätte die Gelegenheit gehabt, hier auf einfache Weise zu gewinnen. Wäre ich FCZ-Trainer, hätte ich die Spieler an den Ohren genommen.»
Der Angesprochene, der Zürcher Kollege Lucien Favre, nickte. Seine Mannschaft habe es verpasst, nach der Führung, auch noch das dritte Tor zu erzielen, räumte er ein. Im Überschwang sprach Favre von «zwei Lattentreffern», die der FCZ zu beklagen gehabt habe. In Wahrheit streifte nur ein Kopfball von Alphonse die Querstange. Inhaltlich aber behielt der Coach recht: Der Meister hatte nach einer schwachen ersten Halbzeit einige Möglichkeiten, in seiner dreissigminütigen Drangperiode das Spiel zu entscheiden. «In dieser Phase hat der FCZ bewiesen, dass er besser ist als wir», sagte Clausen. Raffael traf kurz nach der Pause zum 1:1, Margairaz gelang in der 63. Minute die verdiente Führung.
Der FC Sion ist zwar nicht mehr Leader, aber immer noch punktgleich mit dem neuen Primus GC. Und was zählte, war das Spektakel, waren die Emotionen, die am Ende wieder durch das Stadion mit den über 12'000 Zuschauern schwappten. Nie in dieser Saison sank die Zuschauerzahl im Tourbillon unter die 10'000er Grenze; selbst in den letzten zwei Saisons in der Anonymität der zweithöchsten Klasse kamen mehr Besucher ins Sittner Stadion, als die grosse Mehrheit der Super-League-Klubs registrieren durfte. Jetzt ist es wieder so weit. Die Erinnerung wird totgeschwiegen; sie soll nicht mehr erwähnt werden. 2003 hatte der FC Sion noch 129 Saisonabonnements verkauft. Heute sind es wieder 5200 - gibt das Sekretariat zur Auskunft. 6300 sind es, wenn Freddy Chassot, Marketingverantwortlicher und Assistenztrainer, gefragt wird. «Es werden immer mehr», erklären aber beide übereinstimmend.
Der FC Sion soll «das Zement des Wallis» sein, wie der Staatsrat Thomas Burgener im Matchprogramm schreibt. Der Verein schafft Identifikation. Der Sittener Stadtpräsident François Mudry hatte vor dem Cup-Final im Frühling gesagt, seine Stadt werde «bei jeder Gelegenheit übersehen und klein gemacht». In Bern im Endspiel gegen YB übersah den FC Sion niemand mehr. Seit er wieder erfolgreich in der Super League spielt, blickt die Schweiz vermehrt nach Sitten. Der Klub muss für vieles herhalten. Als Klammer für das Ober- und Unterwallis zum Beispiel. Doch bei Sitten spielt kein Oberwalliser. In Nachwuchs stammen 15 Prozent der Spieler aus dem deutschsprachigen Teil des Kantons.
Der FC Sion schreitet wieder rasch vorwärts. Präsident Constantin scheint die Gunst der Stunde nutzen zu wollen. Einige Schwergewichte in der Super League wie YB oder der FC Basel befinden sich im Umbruch. Das erscheint als Chance der Sittener. Auch der FCZ wusste am Samstagabend die rasante Fahrt des Aufsteigers nicht ganz aufzuhalten. Die Sittener waren eine Halbzeit lang das bessere Team. Selbst gegen den Meister, in dieser Meisterschaft «l'équipe à battre», wie der Sittener Trainer Clausen sagt, zeigten sie die bekannten Qualitäten: das schnelle Konterspiel mit den starken Individualisten Regazzoni oder Obradovic. «Was kann man im 1:1 gegen die beiden ausrichten», fragte Favre, «ein Gewehr auf sie richten»? Er lachte über seinen Scherz.
Nach dem 1:0 (36.) und einem fragwürdigen Freistoss (Favre: «es ging kein Foul voraus») des Serben Obradovic mitten durch die hochspringende FCZ-Mauer, war Favre der Humor allerdings vergangen. Sein Team verfing sich wie so oft im «Klein-klein-Spiel» und lud den Gegner zu Gegenstössen ein. Nach der Pause erhöhte der FCZ dreissig Minuten lang die Effizienz. «Doch in den letzten zehn Minuten wollte Zürich nicht mehr spielen und verteidigte nur», sagte Clausen, «und wir haben uns alles mit dem Willen erarbeitet». Das Wallis und Willensstärke?
- Sa 23 Sep 2006, 09:31
- Forum: Diskussionsforum
- Thema: Sa, 23. September 2006, 17:45 Uhr, FC Sion - FC Zürich
- Antworten: 136
- Zugriffe: 31858
- Sa 23 Sep 2006, 09:16
- Forum: Diskussionsforum
- Thema: Sa, 23. September 2006, 17:45 Uhr, FC Sion - FC Zürich
- Antworten: 136
- Zugriffe: 31858
und noch eine interessante Passage aus dem Fredy Chassot Portrait vom Tagi von heute (Artikel online nicht verfügbar):
"Stolz ist er, das neue Leben nach seiner Karriere in den Griff bekommen zu haben. Er, der Lebemann von früher, kennt seinen Ruf, den er vor allem in der Deutschschweiz hatte. «Viele Leute haben ein falsches Bild von mir. Sie dachten, ich würde ein Sozialfall», sagt er, «sie glaubten, ich würde unter der Brücke enden.» Das Lachen verschwindet einen Moment: «Als ich anfing, war ich motiviert wie verrückt. Heute bin ich es noch mehr. Ich gebe mich mit dem, was ich habe und mache, nicht zufrieden.» Beim FC Sion glaubt er seine Aufgabe für die nächsten Jahre gefunden zu haben, aus dem Wallis will er so schnell nicht mehr weg. "
go go Fredy, zeig es Ihnen!
"Stolz ist er, das neue Leben nach seiner Karriere in den Griff bekommen zu haben. Er, der Lebemann von früher, kennt seinen Ruf, den er vor allem in der Deutschschweiz hatte. «Viele Leute haben ein falsches Bild von mir. Sie dachten, ich würde ein Sozialfall», sagt er, «sie glaubten, ich würde unter der Brücke enden.» Das Lachen verschwindet einen Moment: «Als ich anfing, war ich motiviert wie verrückt. Heute bin ich es noch mehr. Ich gebe mich mit dem, was ich habe und mache, nicht zufrieden.» Beim FC Sion glaubt er seine Aufgabe für die nächsten Jahre gefunden zu haben, aus dem Wallis will er so schnell nicht mehr weg. "
go go Fredy, zeig es Ihnen!
- Sa 23 Sep 2006, 08:33
- Forum: Diskussionsforum
- Thema: Sa, 23. September 2006, 17:45 Uhr, FC Sion - FC Zürich
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23. September 2006, Neue Zürcher Zeitung (http://www.nzz.ch/2006/09/23/sp/articleEI48O.html)
Der FC Sion und die Kontrolle über den Ferrari
Der Aufsteiger steht an der Tabellenspitze der Super League - wie ist das möglich?
Am Samstag spielt der Meister FCZ im Stade de Tourbillon gegen den Leader Sitten. Die rasante Fahrt des Aufsteigers überrascht. Die Kontrolle über den Klub hat nur einer - Präsident Constantin.
Martigny, im September
Jetzt sind sie alle wieder hier, in seinem Reich. Christian Constantin, der Präsident des FC Sion, lächelt zufrieden. Breitbeinig steht er da, die Hände in den Hosentaschen. Es ist wieder so weit. In seinem Hotel in Martigny, der Machtzentrale des Walliser Vereins, herrscht der Belagerungszustand. Aus der ganzen Schweiz sind sie ins enge Tal gereist, um zu ergründen, wie es möglich ist, dass der FC Sion wieder ganz oben steht. Und er, Constantin, spielt eine Hauptrolle in der Geschichte. Das Skript ist einfach und erhebt einen Absolutheitsanspruch. Ohne «CC», wie der Architekt mit Initialen genannt wird, gäbe es den FC Sion nicht mehr. Er sammelte im Jahr 2003 zusammen, was damals noch vom Verein übriggeblieben war. Er kämpfte mit einer Armada von Anwälten gegen das Fussball-Establishment und die Relegation in die 1. Liga, unter ihm gewann Sitten im Frühling den Cup, mit ihm gelang nach knapp vier Jahren in der Anonymität wieder der Aufstieg. Und vor allem: Er hat den Klub wieder so hochgerüstet, dass er vor dem Spiel gegen den FCZ an der Tabellenspitze steht.
Die Erinnerung an 1997
Kein anderer im Wallis wäre dazu in der Lage gewesen, behaupten Einheimische. Dies beteuern nicht nur seine feurigen Verehrer. «Es stimmt», sagt auch Edmond Isoz, der Direktor der Swiss Football League, zwischen 1973 und 1981 Spieler im FC Sion und jahrelanger Intimfeind des Walliser Präsidenten. «Was Constantin mit seiner vielen Energie im Marketing bewirken kann, ist einmalig. Das sind die Fakten.» Isoz seufzt. Sie gefallen ihm nicht. Zu schwer wiegt die Erinnerung. 1997 hinterliess Constantin im Wahntraum von der Champions League einen Schuldenberg von 13,4 Millionen Franken, zwei Jahre später rettete den FC Sion der gerichtliche Nachlass. Und heute? Constantin mobilisiert wieder, er kauft und verkauft, er dreht an der Finanzspirale. Es geht alles wieder sehr schnell. Das Budget betrage unwesentlich mehr als 10 Millionen Franken, «auch wenn viele behaupten, es sei höher», sagt Constantin. CC ist ein Tempomacher. 12 neue Spieler hat er verpflichtet. Er sucht den raschen Erfolg, überall - in der Meisterschaft, im Cup und auch im Uefa-Cup. Das kostet Geld. Wie viel genau, weiss nur der Alleinaktionär der FC Sion AG selber. Das ist Constantin. Die wenigen Kritiker klammern sich an die neue juristische Form des Vereins: Es ist ihre Hoffnung, dass CC als Aktionär belangt werden könnte, wenn er seinen Verpflichtungen nicht mehr nachkommen und alles aus dem Ruder laufen sollte.
Goran Obradovic, Sittens serbischer Spielmacher mit dem seidenen Fuss, ist in Sachen Tempo ein Ebenbild des Chefs: «Wir können heute Erfolg haben. Also tun wir es. Nächstes Jahr in der Champions League zu spielen, wäre doch wunderbar.» Hat er keine Angst, dass der Verein überdreht, bis er wieder auf dem Rücken liegt? «Mit ein paar hunderttausend Franken kann ja niemand Meister werden. Und das wollen wir. Wir werden sehen, ob alles gut geht.»
Der 20. Trainer seit 1994
Nestor Clausen, der neue Trainer, muss die rasende Fahrt des Klubs unter Kontrolle halten. Auf Geduld oder Verständnis für ein Langzeitprojekt kann er nicht zählen. Clausen, Argentinier mit Walliser Vorfahren und 1986 Weltmeister im Team von Maradona, sitzt im offenen Hemd auf der Terrasse und zieht an der Zigarette. Um seinen Hals baumelt ein weisser Rosenkranz. Er sagt, was alle Trainer dieser Welt sagen. Es zähle nur das nächste Spiel. Für Clausen ist das keine Floskel; es ist die letzte Wahrheit. «In dem Moment, als ich in Sitten unterschrieb, wusste ich, dass ich sofort gewinnen muss. Sonst werde ich entlassen.» Clausen ist der 20. Trainer des FC Sion, seit er 1994 das Wallis als Spieler verlassen hatte. Freunde hätten ihm geraten, «doch nicht für diesen Verrückten zu arbeiten». Gemeint war Constantin. Doch Clausen ist die Ruhe selbst. Für ein Jahr hat er im Frühling unterschrieben. Bescheidenheit sei der Schlüssel in seinem Beruf, sagt er. Darin unterscheidet er sich von seinem extravaganten Präsidenten. Er sei auf niemanden eifersüchtig. Auch darauf nicht, dass im Klub einzig CC für die Transfers verantwortlich ist.
In einem Punkt sind sich die beiden einig: «Wenn Constantin mir dereinst eröffnen wird, dass ich gehen muss, bin ich nicht überrascht. Ich kenne die Regeln», sagt Clausen. Seine Frau und seine Kinder leben in Argentinien. Heute sei er mit Sitten erfolgreich, «und ich könnte daheim anrufen und sagen: Zieht her zu mir. Aber morgen?» Am liebsten würde Clausen viele Jahre im Wallis arbeiten. Er weiss, dass es dazu kaum kommen wird. Die alten Geschichten vom drohenden Konkurs und von den harten Zeiten kennt Clausen bloss vom Hörensagen. Er entgegnet nur: «Sollte ich irgendwann einmal Dinge sehen, die nicht normal sind, bin ich weg.» Doch bis jetzt habe er einen guten Eindruck gewonnen. Constantin würde sich manchmal wie ein Trainer aufführen, aber die sportlichen Entscheide lägen einzig bei ihm, Clausen.
Es gibt neben Constantins hochgetriebener, schneller Welt noch eine andere. Sie riecht nach Lack und Lösungsmittel. In der Karosseriewerkstatt von Alain Balet existiert ein unterschiedliches Walliser Fussballverständnis. Balet spielte in den achtziger Jahren mehr als 400 Mal für den FC Sion, dank vier Toren in drei Endspielen gilt er als «Mister Cup-Final». Seit 2002 ist Balet Präsident der Stiftung «Foot Jeunesse Sion Valais». Damals rettete er mit Partnern wie Pierre-Marie Pittier oder Léonard Karlen die Sittener Juniorenbewegung, die nach dem Abgang des Präsidenten Gilbert Kadji vor dem Aus stand. «Es ist deshalb absolut obligatorisch für uns, autonom zu sein», sagt Balet. 600 000 Franken Budget garantieren dafür. Auch die Erfahrungen mit Constantin haben ihn Vorsicht gelehrt. Zwei Spieler pro Jahr will er in die Profimannschaft einschleusen. Heute ist einzig das Eigengewächs Gelson Fernandes Titular im FC Sion.
Doch auch Balet schliesst sich dem Tenor im Wallis an: «Der ganze Kanton steht hinter Constantin. Wenn er morgen aufhört, gibt es niemanden, der für ihn übernimmt. Keiner kann diesen Ferrari so steuern wie er.» Natürlich gehe alles viel zu schnell, sagt er. Selber würde er es vorziehen, mit 80 Prozent Wallisern in der B-Liga zu spielen, in fünf Jahren aufzusteigen und sich in weiteren zehn Jahren in Europa zu zeigen. «Aber das ist unrealistisch. Die Leute wollen Träume und Spektakel. Dazu braucht es Geld», erzählt er. Und wie bezahlt Constantin alles? «Niemand hat darauf eine Antwort.» Es sei wie eine Wette, die CC abschliesse, «und bisher hat er gewonnen».
Der FC Sion und die Kontrolle über den Ferrari
Der Aufsteiger steht an der Tabellenspitze der Super League - wie ist das möglich?
Am Samstag spielt der Meister FCZ im Stade de Tourbillon gegen den Leader Sitten. Die rasante Fahrt des Aufsteigers überrascht. Die Kontrolle über den Klub hat nur einer - Präsident Constantin.
Martigny, im September
Jetzt sind sie alle wieder hier, in seinem Reich. Christian Constantin, der Präsident des FC Sion, lächelt zufrieden. Breitbeinig steht er da, die Hände in den Hosentaschen. Es ist wieder so weit. In seinem Hotel in Martigny, der Machtzentrale des Walliser Vereins, herrscht der Belagerungszustand. Aus der ganzen Schweiz sind sie ins enge Tal gereist, um zu ergründen, wie es möglich ist, dass der FC Sion wieder ganz oben steht. Und er, Constantin, spielt eine Hauptrolle in der Geschichte. Das Skript ist einfach und erhebt einen Absolutheitsanspruch. Ohne «CC», wie der Architekt mit Initialen genannt wird, gäbe es den FC Sion nicht mehr. Er sammelte im Jahr 2003 zusammen, was damals noch vom Verein übriggeblieben war. Er kämpfte mit einer Armada von Anwälten gegen das Fussball-Establishment und die Relegation in die 1. Liga, unter ihm gewann Sitten im Frühling den Cup, mit ihm gelang nach knapp vier Jahren in der Anonymität wieder der Aufstieg. Und vor allem: Er hat den Klub wieder so hochgerüstet, dass er vor dem Spiel gegen den FCZ an der Tabellenspitze steht.
Die Erinnerung an 1997
Kein anderer im Wallis wäre dazu in der Lage gewesen, behaupten Einheimische. Dies beteuern nicht nur seine feurigen Verehrer. «Es stimmt», sagt auch Edmond Isoz, der Direktor der Swiss Football League, zwischen 1973 und 1981 Spieler im FC Sion und jahrelanger Intimfeind des Walliser Präsidenten. «Was Constantin mit seiner vielen Energie im Marketing bewirken kann, ist einmalig. Das sind die Fakten.» Isoz seufzt. Sie gefallen ihm nicht. Zu schwer wiegt die Erinnerung. 1997 hinterliess Constantin im Wahntraum von der Champions League einen Schuldenberg von 13,4 Millionen Franken, zwei Jahre später rettete den FC Sion der gerichtliche Nachlass. Und heute? Constantin mobilisiert wieder, er kauft und verkauft, er dreht an der Finanzspirale. Es geht alles wieder sehr schnell. Das Budget betrage unwesentlich mehr als 10 Millionen Franken, «auch wenn viele behaupten, es sei höher», sagt Constantin. CC ist ein Tempomacher. 12 neue Spieler hat er verpflichtet. Er sucht den raschen Erfolg, überall - in der Meisterschaft, im Cup und auch im Uefa-Cup. Das kostet Geld. Wie viel genau, weiss nur der Alleinaktionär der FC Sion AG selber. Das ist Constantin. Die wenigen Kritiker klammern sich an die neue juristische Form des Vereins: Es ist ihre Hoffnung, dass CC als Aktionär belangt werden könnte, wenn er seinen Verpflichtungen nicht mehr nachkommen und alles aus dem Ruder laufen sollte.
Goran Obradovic, Sittens serbischer Spielmacher mit dem seidenen Fuss, ist in Sachen Tempo ein Ebenbild des Chefs: «Wir können heute Erfolg haben. Also tun wir es. Nächstes Jahr in der Champions League zu spielen, wäre doch wunderbar.» Hat er keine Angst, dass der Verein überdreht, bis er wieder auf dem Rücken liegt? «Mit ein paar hunderttausend Franken kann ja niemand Meister werden. Und das wollen wir. Wir werden sehen, ob alles gut geht.»
Der 20. Trainer seit 1994
Nestor Clausen, der neue Trainer, muss die rasende Fahrt des Klubs unter Kontrolle halten. Auf Geduld oder Verständnis für ein Langzeitprojekt kann er nicht zählen. Clausen, Argentinier mit Walliser Vorfahren und 1986 Weltmeister im Team von Maradona, sitzt im offenen Hemd auf der Terrasse und zieht an der Zigarette. Um seinen Hals baumelt ein weisser Rosenkranz. Er sagt, was alle Trainer dieser Welt sagen. Es zähle nur das nächste Spiel. Für Clausen ist das keine Floskel; es ist die letzte Wahrheit. «In dem Moment, als ich in Sitten unterschrieb, wusste ich, dass ich sofort gewinnen muss. Sonst werde ich entlassen.» Clausen ist der 20. Trainer des FC Sion, seit er 1994 das Wallis als Spieler verlassen hatte. Freunde hätten ihm geraten, «doch nicht für diesen Verrückten zu arbeiten». Gemeint war Constantin. Doch Clausen ist die Ruhe selbst. Für ein Jahr hat er im Frühling unterschrieben. Bescheidenheit sei der Schlüssel in seinem Beruf, sagt er. Darin unterscheidet er sich von seinem extravaganten Präsidenten. Er sei auf niemanden eifersüchtig. Auch darauf nicht, dass im Klub einzig CC für die Transfers verantwortlich ist.
In einem Punkt sind sich die beiden einig: «Wenn Constantin mir dereinst eröffnen wird, dass ich gehen muss, bin ich nicht überrascht. Ich kenne die Regeln», sagt Clausen. Seine Frau und seine Kinder leben in Argentinien. Heute sei er mit Sitten erfolgreich, «und ich könnte daheim anrufen und sagen: Zieht her zu mir. Aber morgen?» Am liebsten würde Clausen viele Jahre im Wallis arbeiten. Er weiss, dass es dazu kaum kommen wird. Die alten Geschichten vom drohenden Konkurs und von den harten Zeiten kennt Clausen bloss vom Hörensagen. Er entgegnet nur: «Sollte ich irgendwann einmal Dinge sehen, die nicht normal sind, bin ich weg.» Doch bis jetzt habe er einen guten Eindruck gewonnen. Constantin würde sich manchmal wie ein Trainer aufführen, aber die sportlichen Entscheide lägen einzig bei ihm, Clausen.
Es gibt neben Constantins hochgetriebener, schneller Welt noch eine andere. Sie riecht nach Lack und Lösungsmittel. In der Karosseriewerkstatt von Alain Balet existiert ein unterschiedliches Walliser Fussballverständnis. Balet spielte in den achtziger Jahren mehr als 400 Mal für den FC Sion, dank vier Toren in drei Endspielen gilt er als «Mister Cup-Final». Seit 2002 ist Balet Präsident der Stiftung «Foot Jeunesse Sion Valais». Damals rettete er mit Partnern wie Pierre-Marie Pittier oder Léonard Karlen die Sittener Juniorenbewegung, die nach dem Abgang des Präsidenten Gilbert Kadji vor dem Aus stand. «Es ist deshalb absolut obligatorisch für uns, autonom zu sein», sagt Balet. 600 000 Franken Budget garantieren dafür. Auch die Erfahrungen mit Constantin haben ihn Vorsicht gelehrt. Zwei Spieler pro Jahr will er in die Profimannschaft einschleusen. Heute ist einzig das Eigengewächs Gelson Fernandes Titular im FC Sion.
Doch auch Balet schliesst sich dem Tenor im Wallis an: «Der ganze Kanton steht hinter Constantin. Wenn er morgen aufhört, gibt es niemanden, der für ihn übernimmt. Keiner kann diesen Ferrari so steuern wie er.» Natürlich gehe alles viel zu schnell, sagt er. Selber würde er es vorziehen, mit 80 Prozent Wallisern in der B-Liga zu spielen, in fünf Jahren aufzusteigen und sich in weiteren zehn Jahren in Europa zu zeigen. «Aber das ist unrealistisch. Die Leute wollen Träume und Spektakel. Dazu braucht es Geld», erzählt er. Und wie bezahlt Constantin alles? «Niemand hat darauf eine Antwort.» Es sei wie eine Wette, die CC abschliesse, «und bisher hat er gewonnen».
- Sa 16 Sep 2006, 18:48
- Forum: Diskussionsforum
- Thema: Do, 14.09.2006 20:30 Uhr FC Sion - Bayer Leverkusen
- Antworten: 112
- Zugriffe: 26669
...und noch ein weiteres Stück Aufarbeitung des Spiels vom Mittwoch in der FTD:
"Bayer-Furcht vor Schweizer Aufsteiger"
http://www.ftd.de/sport/fussball/uefacup/113428.html
Ein paar Auszüge:
«Das 0:0 ist ein trügerisches und auch gefährliches Ergebnis», räumte Chefcoach Michael Skibbe nach seiner internationalen Premiere mit den Bayer-Profis ein. Der 41-Jährige war nach der Partie in Genf «nicht wirklich zufrieden. Das wird ein ganz schwerer Gang.»
Bayers Schweizer Nationalspieler Tranquillo Barnetta konnte da nur beipflichten: «Wir sind gewarnt und dürfen nicht denken, dass wir mit diesem Ergebnis schon eine Runde weiter sind.»
«Da hatten wir fünf, sechs hervorragende Chancen. Aber in den 70 Minuten davor war meine Mannschaft nicht in der Lage, solche Möglichkeiten heraus zu spielen», kritisierte Skibbe. «Abhaken», empfahl Leverkusens Sportchef Rudi Völler, ohne die nachhaltige Zustimmung des Chefcoachs zu finden. Denn Skibbe hat nach wie vor großen Respekt vor den Profis des Schweizer Pokalsiegers: «Wir müssen im Rückspiel höllisch aufpassen, dass wir denen nicht in Konter laufen.» Ein Gegentreffer am 28. September in der BayArena - und eine Pleite wie gegen Sofia stünde vor der Wiederholung.
"Bayer-Furcht vor Schweizer Aufsteiger"
http://www.ftd.de/sport/fussball/uefacup/113428.html
Ein paar Auszüge:
«Das 0:0 ist ein trügerisches und auch gefährliches Ergebnis», räumte Chefcoach Michael Skibbe nach seiner internationalen Premiere mit den Bayer-Profis ein. Der 41-Jährige war nach der Partie in Genf «nicht wirklich zufrieden. Das wird ein ganz schwerer Gang.»
Bayers Schweizer Nationalspieler Tranquillo Barnetta konnte da nur beipflichten: «Wir sind gewarnt und dürfen nicht denken, dass wir mit diesem Ergebnis schon eine Runde weiter sind.»
«Da hatten wir fünf, sechs hervorragende Chancen. Aber in den 70 Minuten davor war meine Mannschaft nicht in der Lage, solche Möglichkeiten heraus zu spielen», kritisierte Skibbe. «Abhaken», empfahl Leverkusens Sportchef Rudi Völler, ohne die nachhaltige Zustimmung des Chefcoachs zu finden. Denn Skibbe hat nach wie vor großen Respekt vor den Profis des Schweizer Pokalsiegers: «Wir müssen im Rückspiel höllisch aufpassen, dass wir denen nicht in Konter laufen.» Ein Gegentreffer am 28. September in der BayArena - und eine Pleite wie gegen Sofia stünde vor der Wiederholung.
- Sa 16 Sep 2006, 17:47
- Forum: Diskussionsforum
- Thema: Do, 14.09.2006 20:30 Uhr FC Sion - Bayer Leverkusen
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Der Drang nach mehr
http://www.nzz.ch/2006/09/16/sp/articleEHC2Z.html
"Das Remis ist für den im schnellen Wachstum begriffenen, aufstrebenden Klub vielleicht auch das winzige Signal, dass seine Realität im engen, begrenzten Tal und nicht an der Spitze des europäischen Fussballs liegt."
Mein Kommentar an "bir" (NZZ Journalist):
Wo ist denn Euer Schweizer Meister?
http://www.nzz.ch/2006/09/16/sp/articleEHC2Z.html
"Das Remis ist für den im schnellen Wachstum begriffenen, aufstrebenden Klub vielleicht auch das winzige Signal, dass seine Realität im engen, begrenzten Tal und nicht an der Spitze des europäischen Fussballs liegt."
Mein Kommentar an "bir" (NZZ Journalist):
Wo ist denn Euer Schweizer Meister?
- Fr 15 Sep 2006, 09:21
- Forum: Diskussionsforum
- Thema: Do, 14.09.2006 20:30 Uhr FC Sion - Bayer Leverkusen
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Habe aus dem Ausland via Eurosport mitgefiebert. Der Kommentator war eine Riesenkatastrophe. Schon in den ersten 5 Minuten hat er den Vogel abgeschossen: "Nestor Clausen, ein Schiedsrichter aus Argentinien"...
Obrado und Germano waren aus meiner (TV) Sicht die besten Sittener! Skibbe der schlechteste Leverkusener. Ueber seine Taktik kann man wirklich nur schmunzeln (z.B. Auswechslungen). Die Truppe aus Leverkusen war schwach, eigentlich hätten wir die schlagen müssen. Aber nach Barbarez' Postenschuss bin ich mit dem 0:0 zufrieden.
Elfmeter: das war aus meiner Sicht leider keiner, so sehr wir den hätten brauchen könnnen...
Obrado und Germano waren aus meiner (TV) Sicht die besten Sittener! Skibbe der schlechteste Leverkusener. Ueber seine Taktik kann man wirklich nur schmunzeln (z.B. Auswechslungen). Die Truppe aus Leverkusen war schwach, eigentlich hätten wir die schlagen müssen. Aber nach Barbarez' Postenschuss bin ich mit dem 0:0 zufrieden.
Elfmeter: das war aus meiner Sicht leider keiner, so sehr wir den hätten brauchen könnnen...
- Mi 13 Sep 2006, 13:43
- Forum: Diskussionsforum
- Thema: Do, 14.09.2006 20:30 Uhr FC Sion - Bayer Leverkusen
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Leverkusen gegen FC Sion «Nicht als Favorit»
Leverkusens Trainer Michael Skibbe hält den FC Sion für einen «harten Brocken.»
http://www.ftd.de/sport/fussball/uefacu ... ?zid=45025
"Hinfliegen, gut spielen und ein gutes Ergebnis erzielen."
Das werden wir schon irgendwie zu verhindern wissen Herr Skibbe!
http://www.ftd.de/sport/fussball/uefacu ... ?zid=45025
"Hinfliegen, gut spielen und ein gutes Ergebnis erzielen."
Das werden wir schon irgendwie zu verhindern wissen Herr Skibbe!
- Fr 08 Sep 2006, 21:50
- Forum: Diskussionsforum
- Thema: UEFA-Cup Gegner Bayer Leverkusen
- Antworten: 177
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Für alle Walliser / Sion Fans welche sich am 14. Sept. im Ausland befinden: Auch Eurosport ist live dabei:Guardini hat geschrieben:keine panik:SionForever hat geschrieben:@ Aerox :
Jeep da liegst Du richtig, vom Spiel in Genf war beim ZDF nie die Rede. Immer nur vom Rückspiel in Leverkusen, welches ja bekanntlich übertragen wird.
Ich nehme schon an, dass TSR das Spiel wieder über einer seiner Kanäle zeigt. Alles andera wäre ja wirklich unverständlich.
http://www.sf.tv/tvprogramm/tv_detail.p ... UEFA%20Cup
der fc sion wird wieder aus sfdrs gezeigt...
http://www.eurosport.de/tvschedule_clng1_day6.shtml#
- Do 07 Sep 2006, 20:46
- Forum: Diskussionsforum
- Thema: Aufgebot für das 4-Länderturnier (mit Rega) im September
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Rega Pfostenschuss
Hier noch das SF Video vom Costa Rica Spiel u.a. mit Regas Pfostenschuss:
http://helix-v4.sri.ch/ramgen/sfdrs/vod ... r_ch_cr.rm
(Real Player)
Weiter so Alberto!
http://helix-v4.sri.ch/ramgen/sfdrs/vod ... r_ch_cr.rm
(Real Player)
Weiter so Alberto!
- Mi 06 Sep 2006, 08:00
- Forum: Diskussionsforum
- Thema: FC Sion Presse-Thread
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05.09.2006 21:43
Sion-Stürmer Kuljic mit Knieverletzung out
FUSSBALL - Das österreichische Fussball-Nationalteam muss am Mittwoch im zweiten Spiel im Rahmen des Vierländer-Turniers in Basel gegen Venezuela auf den verletzten Sion-Stürmer Sanel Kuljic verzichten.
Bei Kuljic wurde im Abschlusstraining am Dienstagabend im St. Jakob-Park wieder seine alte Knieverletzung akut. Dabei handelt es sich um eine Überdehnung des inneren Seitenbandes rechts. Damit ist der 28-Jährige wie schon in der ersten Partie gegen Costa Rica am vergangenen Samstag (2:2) zum Zuschauen verurteilt.
(www.sf.tv)
Sion-Stürmer Kuljic mit Knieverletzung out
FUSSBALL - Das österreichische Fussball-Nationalteam muss am Mittwoch im zweiten Spiel im Rahmen des Vierländer-Turniers in Basel gegen Venezuela auf den verletzten Sion-Stürmer Sanel Kuljic verzichten.
Bei Kuljic wurde im Abschlusstraining am Dienstagabend im St. Jakob-Park wieder seine alte Knieverletzung akut. Dabei handelt es sich um eine Überdehnung des inneren Seitenbandes rechts. Damit ist der 28-Jährige wie schon in der ersten Partie gegen Costa Rica am vergangenen Samstag (2:2) zum Zuschauen verurteilt.
(www.sf.tv)
- Mo 04 Sep 2006, 09:11
- Forum: Diskussionsforum
- Thema: Allg. Zeitungsartikel Thread
- Antworten: 500
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Sichtweise der Austria Presse...
"Steinstoßer" stahlen der "Nati" die Show
(Die Presse) 04.09.2006
Das Fußball-Vierländerturnier in der Schweiz entpuppt sich als Publikums-Flop.
BASEL (wie-). In der Schweiz drehte sich am Wochenende alles um das traditionelle Unspunnenfest in Interlaken. Gesucht wurde der beste Steinstoßer (Schwinger) des Landes, eine Traditionsveranstaltung, die im Vorjahr wegen des großen Hochwassers abgesagt werden musste. Ein rustikaler Sport, der den Österreichern fremd ist, bei den Eidgenossen aber ein ganz großer Renner ist.
Das Unspunnenfest verdrängte sogar den Fußball aus den Schlagzeilen, was der Schweizer Nationalmannschaft ausnahmsweise gar nicht so unrecht war: Denn der WM-Teilnehmer und Viertelfinalist mühte sich in Basel gegen Venezuela (Österreich-Gegner am Mittwoch) zu einem matten 1:0. Torjäger Alexander Frei war der Retter der "Nati", böse Kommentare hagelte es dennoch.
"Tristesse statt Euphorie. Mini-Sieg vor Mini-Kulisse!" musste die Mannschaft von Köbi Kuhn anderntags lesen. Nur 12.500 Zuschauer waren in den St. Jakob Park (Fassungsvermögen derzeit 32.000, Ausbau bis 2008 auf 45.000) gekommen, um der Schweizer Fußball-Elite auf die Beine zu sehen. "Müssen wir jetzt 1 Jahr und 9 Monate warten, bis die Euphorie wieder ausbricht? 50.000 euphorische Fans bei der WM in Dortmund, Fadesse in Basel." Für Nati-Teamchef Kuhn völlig unverständlich: "Wir haben unsere Vorleistungen erbracht. Sportlich haben wir bisher alles unternommen, um für Zuschauer zu werben. Die Fans nehmen nicht zur Kenntnis, dass wir keine Freundschaftsspiele haben, sondern echte Tests. Wir wollen bei der Euro ins Finale!"
Das Schweizer Team agierte schwächer als bei der WM, einige Teamkandidaten fehlten auch, weil sie das U21-Team verstärkten. Und es gab auch Pfiffe in der halb leeren Arena. Dies, obwohl Venezuela keine einzige echte Torchance zu verzeichnen hatte. Die Euphorie scheint vorerst verflogen, sogar die sonst so nüchterne NZZ meldet besorgt: "Der Hype ist weg und der Weg zur Euro lang. Das war nicht die große Show." Aber schon bald wieder werden die "Hopp Schwyz"-Rufe ertönen, denn am 15. November gastiert Brasilien im St. Jakob Park.
Noch viel trister das Ambiente in Genf, Österreich spielte vor geschätzten 300 Zuschauern. Der Schweizer Verband hatte es verabsäumt, das Vierländer-Turnier besser zu promoten. Im Stadion vermisste man obendrein ein Euro-2008-Logo oder einen Hinweis auf das gemeinsame Groß-Ereignis. Auch dem Schweizer Verband unterlaufen Versäumnisse. Oder ist Rotweißrot einfach nur ein Saalräumer?
(Die Presse) 04.09.2006
Das Fußball-Vierländerturnier in der Schweiz entpuppt sich als Publikums-Flop.
BASEL (wie-). In der Schweiz drehte sich am Wochenende alles um das traditionelle Unspunnenfest in Interlaken. Gesucht wurde der beste Steinstoßer (Schwinger) des Landes, eine Traditionsveranstaltung, die im Vorjahr wegen des großen Hochwassers abgesagt werden musste. Ein rustikaler Sport, der den Österreichern fremd ist, bei den Eidgenossen aber ein ganz großer Renner ist.
Das Unspunnenfest verdrängte sogar den Fußball aus den Schlagzeilen, was der Schweizer Nationalmannschaft ausnahmsweise gar nicht so unrecht war: Denn der WM-Teilnehmer und Viertelfinalist mühte sich in Basel gegen Venezuela (Österreich-Gegner am Mittwoch) zu einem matten 1:0. Torjäger Alexander Frei war der Retter der "Nati", böse Kommentare hagelte es dennoch.
"Tristesse statt Euphorie. Mini-Sieg vor Mini-Kulisse!" musste die Mannschaft von Köbi Kuhn anderntags lesen. Nur 12.500 Zuschauer waren in den St. Jakob Park (Fassungsvermögen derzeit 32.000, Ausbau bis 2008 auf 45.000) gekommen, um der Schweizer Fußball-Elite auf die Beine zu sehen. "Müssen wir jetzt 1 Jahr und 9 Monate warten, bis die Euphorie wieder ausbricht? 50.000 euphorische Fans bei der WM in Dortmund, Fadesse in Basel." Für Nati-Teamchef Kuhn völlig unverständlich: "Wir haben unsere Vorleistungen erbracht. Sportlich haben wir bisher alles unternommen, um für Zuschauer zu werben. Die Fans nehmen nicht zur Kenntnis, dass wir keine Freundschaftsspiele haben, sondern echte Tests. Wir wollen bei der Euro ins Finale!"
Das Schweizer Team agierte schwächer als bei der WM, einige Teamkandidaten fehlten auch, weil sie das U21-Team verstärkten. Und es gab auch Pfiffe in der halb leeren Arena. Dies, obwohl Venezuela keine einzige echte Torchance zu verzeichnen hatte. Die Euphorie scheint vorerst verflogen, sogar die sonst so nüchterne NZZ meldet besorgt: "Der Hype ist weg und der Weg zur Euro lang. Das war nicht die große Show." Aber schon bald wieder werden die "Hopp Schwyz"-Rufe ertönen, denn am 15. November gastiert Brasilien im St. Jakob Park.
Noch viel trister das Ambiente in Genf, Österreich spielte vor geschätzten 300 Zuschauern. Der Schweizer Verband hatte es verabsäumt, das Vierländer-Turnier besser zu promoten. Im Stadion vermisste man obendrein ein Euro-2008-Logo oder einen Hinweis auf das gemeinsame Groß-Ereignis. Auch dem Schweizer Verband unterlaufen Versäumnisse. Oder ist Rotweißrot einfach nur ein Saalräumer?
- Sa 02 Sep 2006, 19:17
- Forum: Diskussionsforum
- Thema: Aufgebot für das 4-Länderturnier (mit Rega) im September
- Antworten: 119
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- Fr 01 Sep 2006, 22:12
- Forum: Diskussionsforum
- Thema: Aufgebot für das 4-Länderturnier (mit Rega) im September
- Antworten: 119
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Rega im Sport Aktuell von heute (SF 1)
http://a1927.v9943d.c9943.g.vr.akamaist ... :22:03.932
(Realplayer)
http://a1927.v9943d.c9943.g.vr.akamaist ... :22:03.932
(Realplayer)
- Do 31 Aug 2006, 20:51
- Forum: Technisches
- Thema: Test
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Re: Antwort
Güno hat geschrieben:Güno hat geschrieben:wie kann ich auf einen bestimmten post anworten?
bla bla bla
- Do 31 Aug 2006, 20:23
- Forum: Technisches
- Thema: Test
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Re: Antwort
Güno hat geschrieben:wie kann ich auf einen bestimmten post anworten?
bla bla bla
- Do 31 Aug 2006, 20:22
- Forum: Technisches
- Thema: Test
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Antwort
wie kann ich auf einen bestimmten post anworten?